Une poignée de Héros.

Rappel du premier message :

Se tenant sur la coline éloignée des ruines de la citée sainte, Argus fumait sa pipe calmement. Il tenait sous son bras un énorme livre qui paraissait pourtant léger. Le vent balayait le pré entouré d'arbre qui menait vers ce nouveau bastion gobelin. Il huma une dernière fois de sa pipe avant de la rangé dans la poche de sa veste. Il pris l'ouvrage entre ses doigts délicat et se prépare. En un éclair il pivota sur lui même, balançant au même moment le grimoir dans les airs. Il fit un double tour avant de placé la main rapidement devant lui, laissant l'ouvrage retomber directement dans la paume, ouvert à la page désirée. Il glissa machinalement son doigts sur les nombreuses lignes et images de runes sur la page, en marmonnant à voix basse des paroles imcompréhensible. Lorsque Vingaard eu finit, il cria un dernier mot en ouvrant les doigt au-dessus de la page et des runes mauves et des symboles étrangent en apparurent. Il referma fermement le gros ouvrage et dirigea sa main devant lui, comme pour stopper un elephant qui chargerait. Il soutin en répétant quelques mots incompréhensible et le vent tourna autour d'une zone bien distinct. Une lumière mauve aveuglante fit irruption dans la plaine et, lorsqu'Argus retira son bras qui protégeait ses yeux, il vit qui se tenait devant lui:

Katharos Sakari, Reine de Elfes.
Ogrish, maitre de clan Ogre.
Gacel Sayah, Barde Demi-Elf Renegat.
Jack Brutus, Souverrain des Hommes.
Markus le barbare.
Tasselhoff Racle-Pied, Kender toujours pret.
Les deux cousins d'Ogrish.

"-Mes chers ami(e)s, Elfes, Ogre, Humain et...Kender" commença Argus Vingaard." Je ne perdrai pas mon temps. La forteresse est là, 300 gobelins dans les murailles et plus encor...(Il eut un de ses habituelles sourires amusé) à vous de jouer!"



Règle de la bataille:

Il faut tué TOUT les 300 gobelin et tout ce qu'il y a d'autres. Toutes les manières sont bonne. Le maximum est de 1 Mort par Coup. On ne peut pas en tuer 15 par coup, pas même les Ogres. Vous en laissez aux autres et n'hésitez pas à décrire. Mieux ce sera décris, plus vous gagnerez d'expérience. Je serai là pour superviser, amusez-vous! (Vous devez d'abord entrer dans la forteresse, pas d'action précipité du genre "a pein arriver il en tuait déjà un par derrière" Soyez descriptif et précis, BON SANG! Vous ne sortez pas de n'importe ou! Si je juge un topic inutile et ne respectant pas les règles, il sera deleter. Bon RP!)Nouvelle règle: Laissez les autres rép avant de poster une deuxième fois.


P.S.: Je n'ai jamais dit que l'on ne pouvait pas tuer plus d'un gobelin par post. Amusez-vous mais soyez TRÈS descriptif.

Il montait maladroitement les marches, étourdi par la récente blessure. L''herbe mécanique faisait son effet. Étrangement, plus il montait les marches, plus cette chaleur le réconfortait et il sentait un chatouillement dans son épaule. « Qu'est-ce qu'il a pu bien mettre dans cette herbe, Ragard? C'est une démangeaison insupportable. » Sans y penser, il porta sa main valide à son épaule blessée. Dès qu'il a atteint son épaule, il resentit une douleur. Mais étrangement, la douleur était dans la main qu'il avait utilisé pour toucher l'épaule. Il y avait des petites billes de métal accroché dans sa paume de main. « Étrange... Mais je me sens bien! » Il monta les escaliers de plus en plus vite, comme s'il était en pleine forme. Le kender le dépassa et l'arrêta.

- Qu'est-ce que tu fais, tu es blessé! Arrête ic...

- Non, je suis guéri, regarde.

Il se tourna, le kender eu un léger regard surpris et haussa les épaules.

- Tu me feras essayer ses herbes, elles ont l'air efficace! (Il arrêta de parler et puis, il continua.) Allez! Montons... au juste pour quoi?

- Pour mon bâton.

- ... Ah bon.

Il entendit une détonation depuis les escaliers. Il resentit la chaleur sur le visage. « Ça brasse ici? je pense qu'il va falloir me dépêcher à prendre mon bâton... » Il couru jusqu'en haut, avec le kender qui a réaliser qu'il courait. Une fois rendu en haut, il regarda la scène. Intrigué et un peu terrifié, il chercha son bâton. Facile à trouver vu qu'il était planté dans un corps de gobelin. Il couru vers celui-ci, les mages ne l'ayant pas remarquer à cause de sa petit taille et de leur concentration. Heureux, il serra son bâton en fermant les yeux. Il les rouvrit et remarqua une bosse étrange par terre. Le Livre! Il regarda le kender s'en approcher. Il le prit.

- Enfin, le re-voilà!

Les mages regarda les deux petites personnes. Le gnome, terrifié, s'approcha du kender. Le kender regarda les mages d'un regard un peu étrangement. Comme s'il était possédé..

- Dis quelque chose!

- Kergad Min Gramans Er Gon!

Une zone de bouclier se fit avec ses signes violets.

(Le kender, y faut que tu poste!!!)

Markus avait la tête qui tournait, les murs bougeaient et le sol semblait instable. Le barbare se relava avec peine. Il titubait, le dernier loup-goblours qui était resté inactif pour le moment crue à tord que l’homme étourdit était une proie facile. Il chargea vers le barbare, qui entendit les pas de la créature. Markus se retourna et retourna sa lame vers le bas avant de frapper sans regarder. Celle-ci se ficha dans la mâchoire de la bête, déchirant sa langue du même coup. Mais en contre parti Markus fut plaqué de plein fouet par l’énorme masse poilu.

Contre toute attente, Markus s’accrocha à l’oreille gauche de l’animal avec sa faible main gauche et tenu fermement son épée de la main droite. Alors que le loup-goblours gigotait frénétiquement la tête dans tous les sens, sans pensé à simplement frapper le barbare avec l’une de ses pattes. Markus resserra sa prise en enroulant ses jambes autour du coup de la bête. Celle-ci continuait de remué la tête, donnant des nausées au barbare déjà étourdit. Celui-ci extirpa sa lame et la retourna finalement vers le haut avant de transpercer verticalement le crâne de l’animal. Sa lame traversa de nouveau la mâchoire puis s’engouffra dans le crâne, réduisant le minuscule cerveau en bouilli avant de ressortir au niveau du front de la créature. Le sang et la matière grise coulèrent le long du bras de Markus, avant que la créature ne s’effondre au sol. Piégeant Markus sous sa masse impressionnante. Le barbare utilisa ses dernières forces pour pousser la créature, d’abord avec les bras se qui value à Markus de déchiré son biceps gauche. L’homme hurla de douleur, mais il devait continuer. Il réussi à glisser ses jambes au dessus de lui grâce à l’espace ainsi créé. Maintenant en position accroupi dos au sol, Markus utilisa la musculature de ses jambes pour levé suffisamment le corps pour ensuite roulé vers la droite. Markus avait réussi à se dégager mais était maintenant hors combat, exténué et blessé, il resta allongé en grinçant les dents sous la douleur émanant de son bras gauche.

(Allez Brutus défend toi! Mauviette!)

S'aurait pu être une gloire iminente pour le Roi, s'il avait rassemblé ses forces et son courage. Chose qu'il ne fit malheureusement pas et c'est alors que la créature qui le tenait fermement réussit, a force d'effort et de patience brutal qui lui était propre, à faire voler le ventre de l'amure en éclat, pour ce qu'il en restait. La bête commença à gratter fortement et frénétiquement le ventre du Roi avec son énorme patte poilu, malheureusement pourvue de griffe. Le ventre tantôt à vif, était désormais belle et bien ouvert et les trippes commençaient a sortir déjà, sous les cris du Roi des hommes, impuissant face à cette mort iminente, tout au moment ou la bête lui arachait l'épaule. De peine et de douleur, Markus le barbare se releva de son emplacement, mal en point, et courru tant bien que mal vers le Roi affliger. Il bondit, par instinct, sur le dos de la bête et lui ouvrit la colonne vertébrale. Le loup-Gobelours, Impuissant devant cette attaque surprise, poussa un énorme cris de douleur alors que Markus remontait rapidement jusqu'a la boite cranienne d'où la matière grise commença a giclé abondamment sur les bras et l'épée du barbare. Ce dernier s'effondra finalement, à bout d'effort, sur le côté et tomba de la créature, en glissant lentement sur le flanc de la machination animale. Les autres vinrent poussé le gobelours du corp de Brutus. Le spectacle choqua particulièrement les Elfes (Peuple toujours reconnu pour leur sensibilisation à la vie) et un des Ogres ne put s'empêché de glousser d'un rire gras et potillonant. Gacel se pencha de l'avant pour fermer les paupières grandements ouvertes du Roi des hommes et d'apaiser tout doucement cette grimace de douleur qui ornait le visage de Jack Brutus, dit le protecteur et défenseur du peuple. Alors que le groupe laissait là la dépouille du Roi, ne pouvant faire plus pour l'instant, Un énorme combat fesait rage au dessus de leurs têtes...

Markus se tourna délicatement sur son flan droit avant de poursuivre sa rotation. Il fini par être à plat ventre, il releva la jambe gauche pour se faire un bon appui, puis il se releva doucement à l’aide de son bras droit. Exténué et blessé, Markus s’approcha de la dépouille du roi. Tous étaient silencieux, mise à part les ogres qui discutaient comme si de rien n’était. Markus s’accroupit et sorti n petit couteau et commença à déchiré de longue lanière de tissu provenant des vêtement du défunt. Personne ne réprimanda l’homme, qui continua à couper des lanières de tissu. Markus laissa le corps sans vit de Brutus enfin en paix après lui avoir dépossédé de sa ceinture. Markus commença à s’attacher le bras gauche solidement à l’aide d’une attelle. La ceinture servait de support principal, passant par le dessus du trapèze (haut de l’épaule) pour ensuite passé par l’arrière du dos et enfin revenir s’attaché au niveau de l’avant bras. Markus utilisa les lanières de tissu pour solidifier cette attelle des plus sommaire. Une fois terminé le barbare prix soin de ranger sa lame dans le fourreau usuel et ramassa le bouclier du défunt roi pour le fixé par-dessus son attelle. Ne pouvant plus se défendre à l’aide de son côté gauche il lui fallait inévitablement quelque chose pour compenser. Le bouclier couvrait la majeure partie du corps de Markus, protégeant du même coup tout son côté droit. Mais le barbare savait qu’il devrait surveiller son angle mort gauche car à cause de sa blessure il ne pourrait pas soulevé le bouclier.

Markus maintenant « équipé » se rendit au près de Katharos. Glaciel le regarda de loin. Markus examina la femme, inconsciente, puis il se tourna avec sérieux et dit :
- Elle à une vilaine plaine à la tête.
Markus examina de plus près et alla même écarté la peau fendue de la femme pour mieux voir. Le crâne n’était pas fendu, elle allait s’en sortir. Glaciel arriva au près de Markus, celui-ci lui annonça sans émotion (comme si il s’en fichait) :
- Elle va s’en sortir…

Les derniers instants étaient passés très vite. Une seconde, Brutus vivait encore, l'autre, son souffle s'était défnitivement tari. Gacel resta un peu plus longtemps auprès de la dépouille que Markus. Il ne remarqua meme pas son manège avec le bouclier. Peut-être était-ce sa nature de barde qui lui faisait ressortir le coté tragique de la scène. Non, Brutus n'était pas de ces héros qui méritait des proses infiniment barbantes des ménestrels de cours qui ne savait quoi faire pour lécher plus de bottes. Non, en faite il s'imaginait les moments d'ennuis qu'il allait se taper, maintenant que celui qu'il aimait le plus énerver venait de disparaitre a jamais. Plus de grandes colères rapportés par ses espions qui faisait tellement rire ses assemblés. Un peu plus et on aurait presque pu dire que Gacel était triste. Presque.

Se détournant, il vit Markus examiner Katharos. Elle allait s'en sortir alors. Mais plus question pour elle de continuer. Maintenant, il ne restait plus que lui et le barbare pour faire le ménage. A part les ogres bien entendus... Mais bon sang, Ils sont où? Faisant le tour de la salle d'un seule regard, il ne savait pas s'ils avaient continués par l'escalier du fond de la pièce ou alors s'ils étaient remontés. Secouant la tête d'exaspération, il alla se pencher sur Katharos.

-Nous reviendrons vous chercher Katharos. Vous ne pouvez continuer dans votre état actuelle. Reposez-vous et attendez notre retour. Nous ne serons pas long. Barbare? T'es prêt a y aller?

Gacel considérait que démantibuler des gobelins et ouvrir de parts en parts des créatures géantes lui donnait le droit de le tutoyer. Pour seule réaction, le colosse tourna la tête vers lui avant d'aquiescer.

-Mon nom c'est Markus.

-Moi c'est Gacel.

Et les 2 se dirigèrent vers l'étage suivant, amochés mais toujours debout. N'est-ce pas l'important?

Markus descendait avec lassitude les interminables escaliers conduisant à l’autre étage. Repensant à ce qu’il pourrait être en train de faire en ce moment, peut être manger un flan de cerf cuit à poing ou bien boire une petite bière dans une taverne ou encore simplement s’étendre sur une pierre et se laisser réchauffer par le soleil. Markus alla même plus loin, il se demanda ce qu’il serait en train de faire si il n’aurait pas été banni des royaumes du nord. Peut être serait-il en train de s’entraîner au combat avec Xane ou bien en train d’empêcher Morglac de faire des bêtises. Il serait peut-être en train d’échanger des théories sur les dieux et les forces mystiques dirigeant le monde avec Kanvel ou débattre de qui est le plus fort entre le mage ou le guerrier avec Tassalon. Mais surtout, il s’imaginait en train d’embrasser sa cher Naïla et de la pren….(Eeee, calmons-nous il y a peut-être des enfants qui lisent). Mais bientôt Gacel l’extirpa de ses rêveries en lui demandant si il voyait quelque chose. Markus lui répondit que non mise à part des escaliers.

Gacel le suivait de près, une torche à la main. Le barbare pausa finalement le pied sur la dernière marche de l’escalier. Devant les deux aventuriers un grand couloir conduisant à une grande salle ouverte se dévoilait sous la lumière de la torche. Mais bientôt, ils n’en eurent plus besoin, un feu éclairait le centre de la salle. Près de celui-ci, il y avait un homme à l’apparence étrange. Markus murmura à son « équipier » avec interrogation :
- Argus n’avait pas dit qu’il devait y avoir dix mercenaires…

Au même moment l’homme reçu une petite goûte de sang sur le dessus de la tête. Il leva les yeux et dit en voyant les dix corps suspendu et mutilé des mercenaires :
- Laisse…je l’ai est trouvé…

Alors que certains étaient occupés à se "receuillir" et descendre encor 6pied de plus sous terre, D'autres avaient la tache moins aisé. Effectivement: Alors que le kender et le gnome étaient occupées dans leur coins a se protégé tant bien que mal avec le bouclier du grimoire qui menaçait de s'estomper sous les rafales de Raistlin, Argus, tant qu'à lui, esquivait tant bien que mal ces dernières de manière fort habile pour un homme ressemblant à un vieux bibliothécaire. Raistlin arborait son habituel sourrire carnassier tandis qu'il lançait paresseusement des sorts mineurs à gauche et à droite. Certe, Argus aurait pu parer ces sorts mais encor aurait-il fallait qu'il eut un bouclier...

"-Je crois que je ne me suis jamais autant marré!" s'écria l'Archimage, le sourrire aux lèvres, en fixant Argus de ses yeux dorés.

Le Maître du Donjon aurait bien pu frissonner à cet instant présent s'il en aurait eu le temps. Il gardait tant bien que mal la cadence tout en s'avançant pour tenter de mettre la main au collet du mage. Chose qu'il réussit, récompense de ses vaines tentatives. Sa main effleura la robe de Raistlin, qui fut le moment idéal pour Argus. C'était bien asser. On ne vit plus Argus mais le mage fit un bond prodigieux, poussé par une force étrange, vers le plafond. Son Dos heurta un mur invisible tandis qu'il empoigna son bâton, le bâton de Magius, de ses deux mains, tout en commençant à incanter. Alors qu'il était sur le point d'atteindre le sol, en diagonal face à l'endroit d'où il avait heurter plafond invisible, il reçu un autre coup, une gerbe d'étincelle qui lui déchira le dos, le poussant d'une force surhumaine, le reprojettant vers son point de départ et le cirque s'ensuivit. Le mage fit trois tour dans les airs jusqu'au moment où il cria un mot de pouvoir. On pouvait voir Argus, à genoux, solidement retenu par des chaines bleues, alors que Raistlin retombait enfin sur la terre ferme...ou plutôt en dessous... peu importe. L'Archimage se redressa tant bien que mal en prenant appuie sur son bâton, alors qu'il toussait violement, recrachant au sol un filet de sang rouge. Argus tentait tant bien que mal de ce défaire de ses liens magiques invoquer par Raistlin mais n'en pu rien. Alors que le mage s'essuyait le coin des lèvres, il s'avança en direction du maître, se redressant de toute sa hauteur. Il flanqua un coup de son bâton au maître du donjon.

"-...Tu as une vitesse surhumaine, pour apparaitre derrière moi aussi vite..." dit Raistlin, jettant un regard noir au menoter."Un peu trop surhumaine..."

"-Disons juste que... J'ai eu un bon maître." dit Argus, arborant un sourrire en coin, un sourrire fière mais qui ne retenait pas le dégout que le maître éprouvait à l'égard de l'Archimage.

"-Ton maître aurait dû mourrir en sang avant de t'apprendre quoique ce soit... tout comme ta chère mère..." le mage avait dit ces dernières paroles avec un rictus fière et repoussant.

Ces dernières paroles furent vainement de trop, Argus tenta tant bien que mal de briser ses liens et...il réussit. Un homme de sa carrure n'aurait jamais réussit sans se briser les muscles mais ce fut miraculeusement fait. Argus se releva à bout de souffle, pret à tordre le coup du mage noir. Ce dernier eu un geste de recule tout en commençant à chuchoter des mots. Alors que Raistlin allait lancer quoique ce soit, Argus l'empoigna par la taille en se jettant sur lui. L'archimage cria un mot de pouvoir, une vive lueur s'ensuivit et... plus rien. les derniers résidant de la salle étaient le Gnome et le Kender.



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Pendant ce temps...
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Le groupe, pour ce qu'il en restait, avait descendu à l'étage du dessous, pret à combattre les mercenaires dont le maître leur avait parler. Tel ne fut pas la surprise de chacun de voir, au milieu de l'énorme pièce, un simple voyageur, seul, se tenant debout comme s'il y avait toujours été. Morgrim était le nom de ce voyageur. Grand et mince, vêtu de tenues de peaux. Il portait ses cheveux cours et une queue de cheval derrière sa tête. Sa barbe fraichement taillée ornait fidèlement un sourrire fière. Ses yeux d'un bleu sapphire en avait envouté plusieurs (Femmes...). Lorsqu'il vit le groupe, il eu un cri amicale de bienvenue, comme s'il s'agissait là de la famille. Alors qu'il croisa ses mains sur son torse, il commença à débiter.

"-Bonjour à vous..." commença l'homme, avant d'être coupé par Markus.

"-Où sont passé les mercenaires...?" questionna le barbare, rapide en affaire.

"-Les mercenaires?" demanda Morgrim. "Oh! EUX! Ils sont là-haut" dit-il, en pointant le doigt vers le haut plafond d'on on ne voyait pas le bout.

Des cadavres pendaient dans les airs, retenu par des espèces de fils invisibles. Certains réprimèrent un haut le coeur, tandis que les Ogres se lichaient les babines à l'image de toute cette viande fraîchement tuée. Markus dégaina son épée, se tenant en position de défense.

"-Ne me dites pas que vous voulez combattre?" s'enquit Morgrim, déçu."J'aurais pensé que nous aurions pu attendre patiemment que le gus d'en bas ait fini son rituels..."

Morgrim avait une mine d'enfant abattu. Markus n'en pris pas garde et s'avança tant bien que mal avec son épée, tandis qu'Ogrish prenait les devants. Morgrim eut un regard noir. Les épées (et la gueule) ne le touchèrent jamais...

Un marionettiste était un de ceux qui pouvait donner vie à des pantins. Le faire sur un seul était déjà un exploit mais ce simple voyageur avait parfait son arts en voyageant dans les contrés sauvages. Bref, nous y voila: Markus et Ogrish furent repoussé par une avalanche de poupées de chiffon. Des sortes de poupées voodoos. Chacunes possédaient une grosse aiguille en bois planté dans leur dos et avaient une apparence végétale. Morgrim en empoigna une tout en fixant un regard noir vers le groupe, empoignant la poupée d'une main et une énorme aiguille de l'autre. Il la planta habillement dans le dos de la poupée qui se débattait rageusement pour pouvoir attaqué. Au moment où l'aiguille se ficha dans le dos de la poupée, un cousin d'Ogrish se paralisa et tomba sur Gacel.

"-Commençons à... joué!" dit Morgrim, arborant un regard fière.

-Du travail de professionel. Il sait ce qu'il fait.

Ses paroles dignes des grands sages des monts d'orient(ironie, ironie, quand tu nous tient), Furent les seuls commentaires qui sortirent de la bouche de Gacel tandis qu'il observait d'un air interessé les différentes lacération, scarifications et autres mutilations qui déchiraient, défiguraient,(j'crois que je vais arreter là) les cadavres. Le voleur se reconcentra sur les autres personne présentes dans la pièce, bien vivantes elles. Il fut surpris de voir Markus faire fi de toutes les règles élémentaires de la prudence. Bien sur, il vaut toujours mieux attaquer le premier, mais pas quand une dizaine de corps sanglants flottaient sans soutien matéreil au-dessus de nos têtes.

-Heeeee... Markus, je crois qu'il vaudrait mieux éviter de faire ce genre d'assault et de...

Les paroles de Gacel restèrent en suspens quand il vit des dizaines de créatures minuscules mais vachement agressive sautés sur le barbare et l'ogre qui l'accompagnait. Merde! un marionnetiste! Ah la la. Pourquoi il n'était pas rester couchés se matin... Mais bon! plus le temps de se lamenter! Gacel apercut le manipulateur tenant une de ses poupées et une grande aiguilles. L'avantage d'être un barde, c'est qu'on connait beaucoup de choses sur pas mal de trucs. Gacel ne préférait pas tester jusqu'à quel points les récits sur ces enchanteurs particuliers étaient faux ou véridiques. Son épée scintilla a la lumière des flammes quand elle apparut dans sa main droite. Gacel sauta sur le coté pour éviter l'ogre victime du maléfice et se releva tout en tranchant la poupée qui lui sautait au visage. Un mouvement de plus et 2 autres marionnettes rejoignirent leur soeurs. Mais une mauvais surprise attendait le demi-elfe.

Les différentes parties tranchés se rejoignirent et se regénérèrent. Donc, la bonne vieille méthode de trancher jusqu'a ce que sa ne bouge plus n'était pas efficace. Jetant un coup d'oeil, Gacel vit que Markus était arrivés au même conclusion en voyant ses victimes se relever les une après les autres. Gacel réfléchit le plus vite possible. Seulement, un autre trio de poupée vint interrompre ses pensées venant de la gauche. Instinctivement Gacel frappa avec sa main gauche, qui tenait la torche. Aussitôt, les marionnettes s'enflammèrent en hurlant dans les aigus. La voilà la solution!

-Markus! Attrappe!

Markus se retourna et lâcha son épée juste a temps pour attraper la torche. Aussitôt, il comprit se qu'il devait faire. Il frappa et regarda avec satisfaction les poupées s'enflammés. Gacel lui fit disparaitre son épée et utilisa ses 2 mains pour lancer des boules de feu a la volés dans toute la salle. Même s'il ratait quelques fois sa cible, bientôt la salle fut emplis de mini-torches courant partout. Mais le demi-elfe ne pourrait garder se rythme longtemps, son énergie le quittant un peu plus a chaques fois que le feu sortait de ses mains. Ne restait plus qu'a espérer que le flots de poupées se tarissent rapidement.

...Et il ferma les yeux. Il entendit toutes sortes de bruits plus effrayant plus l'un que l'autre. Il ouvra ses yeux curieux de gnome car il n'arriva rien. Erreur! Il vut Raistlin voler presqu'à côté de lui. Il referma les yeux. Le kender, lui, en même temps, commentait la partie.

- Que c'est magnifique! (Un bruit) Oufff, je n'aurais plus d'air pour lui! (Un autre) Est-ce qu'il peut le refaire? J'aime les étincelles! (Un bruit de chaîne) Est-ce qu'on peut avoir les chaînes d'un autre couleur?

Il y eût un bruit de châines brisées. N'étant plus capable de se retenir, il se dit : « Tant pis les choses effrayantes! » Il rouvrit les yeux. Argus sauta sur Raistlin par la taille. Raistlin dit un mot et puis... rien.

- Où sont-ils? ... Il n'y a plus de couleur! ...Et puis, tant pis!

Il sortit de la bulle protectrice. Le gnome le regarda, incertain.

- Tu es sur qu'il faut sortir? Peut-être qu'ils vont revenir!

- Mais non! Regarde, je vais attendre une minute avec toi pour te sécuriser.

- ... D'accord, mais pas moins!

Le kender commença à taper du pied. Quelque secondes passèrent. Encore sous le choc de Raistlin, il regarda le tapement du pied de Tass. 10 secondes passèrent. Toujours rien. Boboche regarda le pied du kender. « Il m'énerve! Mais, je ne suis pas toujours assez sûr.» 20 secondes passèrent. « Je vais lui sauter dessus! »Un autre 10 secondes passa.

- Allez, tu viens, j'entends des sons en bas, ils ont l'air étrange. On aurait dit...

- D'ACCORD! Je viens... mais arrête de taper du pied... S'il-te-plaît!

Le kender sourit enfantinement. Il hocha de la tête. Le gnome regarda autour. « D'accord, je suis paranoîaque... il n'y a plus rien... Prends un grand respire! » Il ferma les yeux. Autre erreur. Dès qu'il fit un pas hors de la zone, le kender lui fit un « Bouh! » retentissant. Il en sauta quasiment.

- Espèce-de-malade! Tu-aurais-pu-me-tuer-rien-qu'avec-une-crise-cardiaque!

Tass se roula par terre. Le gnome se retint de ne pas lui donner un coup dans le derrière. S'exprimant en colère dans toute sa colère :

- EST-CE-QU'ON-DESCEND-OU-NON?!

Le kender reprit vite son sérieux.

- Si on ne peut plus s'amuser... M. le gnome qui-parle-vite...

Ils descendirent les marches une à une, prenant son temps pour décompresser de cette rencontre avec les mages. Le gnome remonta rapidement, allant chercher le bâton, celui qui a value tout ces drôles de préripécies, et revint. Ils arrivèrent à l'étage des loups-goblours. C'était nauséabond et, en plus, il y avait des corps dont les fluides corporelles étaient... par terre. Ils virent un cadavre qui n'était pas comme les autres (facile à voir, loup-goblours/humain...). Ils s'en approchèrent.

- Paix est son âme... Qui il était, celui-là?

Boboche haussa des épaules.« Le pauvre... » Il se retoura, étant sur le point de vomir. Ils continuèrent à se frayer un chemin à travers les corps dégoûtants pour atteindre l'arche du fond menant à d'autre escaliers. Quand ils descendirent les marches, ils virent quelques lueurs. Ils entendirent aussi quelques cris abominables. Des cris de créatures.

- As-tu toujours ton livre?

Le kender fouilla dans son sac de dos.

- Celui-là? Il traînait encore par terre...

- Ouvre le livre!

Il obéit sans poser de question. Il fouilla. « Il doit y avoir des images, par hasard? Et oui! » Il fouilla. Il tomba sur des têtes de morts, des murs magiques (tiens, ça me rappelle quelque chose...), des flaques de baves, des images de fioles... Enfin! Il trouva une image d'éclair. Il chercha des inscriptions bizarres. Aucune!

- Qu'est-ce que tu cherches? Les éclairs? Voleurs d'idées...

Il ferma brusquement le livre avec un peu de poussière. Il descendit les marches quatre à quatre avant que le gnome ait pu réagir. Le gnome essaya de le suivre. Il aggripa d'une main ferme son bâton si précieux. Une fois rendu en bas, la bataille avait lieu. « Étrange. Des marionnettes! Mais... ce n'est pas supposé de bouger!? »

Morgrim n'avait qu'à en faire apparaitre par rassemblement de 10 à la fois. C'étais pour lui quelque chose de plus simple que le barde à lancé des boules de feux. La salle se remplissait à un rythme bien trop élevé pour permettre a tous et chacuns de prendre un respire. Alors que Gacel s'épuisait rapidement et que Markus usait de ses derniers atout, tout autant qu'Ogrish qui tentait d'en bouffer par vingtaine, Morgrim se lassa. Laissant les adorables poupées se pousser contre le mur aux cas où, le marionettiste/Voodoo fit un geste vers le plafond. Le bout de son doigts devint bleue écarlate. Tandis que Markus profitait de l'occasion pour se rapprocher un peu plus, on entendit quelque chose se séparer, un coup sec. Une corde invisible du plafond se sectionna et un corp mort s'abattit sur Markus, le pauvre. Gacel avait stopper ses boules de feux alors que deux pantins de la grandeur d'un homme, tenant chacuns une lance de combat, sortait de sous Morgrim. Ce dernier sourris fièrement.

Markus souleva le corps qui lui était tombé dessus. Le barbare poussa un soupire de lassitude extrême et foudroya le marionnettiste d’un regard noir. L’homme commença sa charge en direction de son adversaire. Une poupée attaqua Markus par la droite, celui-ci la frappa horizontalement avec sa torche. La poupée s’enflamma tout en étant envoyée plus loin. Markus était presque arrivé à proximité du marionnettiste. Celui-ci eu un sourire amusé, Markus se pencha par instinct, évitant un coup horizontal de la par du cadavre qui lui était tombé dessus. Markus pivota a 180 degré pour se retrouver face au pantin humain avant de se relevé et de la plaquer avec le bouclier. Il le plaqua si fort que le pantin tomba à la renverse.

Sachant qu’il n’avait pas de temps à perdre, Markus se retourna et recommença à courir en direction de Morgrim. Frappant rageusement sur celui-ci avec sa torche. Le marionnettiste évitait habilement les coups du barbare. Markus était envahi par l’adrénaline, décuplant ses sens et ses réflexes. Le pantin réattaqua de nouveau par derrière, mais cette fois verticalement. Markus s’en débarrassa en moins de deux en donnant un coup de pied gauche au ventre de celui-ci. Le renvoyant une fois encore au tapis. Le barbare continuait à frapper avec sa torche, mais la fatigue commençait à se faire sentir. Morgrim aussi se fatiguait, éviter tous ces coups de troches n’était guère aisé, étant donné qu’il devait également reculer pour ne pas que le barbare puisse s’approcher suffisamment pour l’attraper.

Markus continuait sans jamais s’arrêter, son plan fonctionnait à merveille. À force de reculer, Morgrim se dirigeait dos à un mur. Une poupée vint secourir son maître en attaquant Markus sur sa gauche. L’homme riposta avec un coup de torche, avant d’immédiatement recommencer à frappé le marionnettiste. Alors que Morgrim était presque dos au mur, il sauta derrière lui pour allé se donné un élan sur le mur et ainsi sauté derrière le barbare. Cette stratégie fonctionna. La situation s’était inverser, Morgrim se croyait maintenant en avantage. Au contraire, alors que le marionnettiste exécutait son mouvement. Markus avait laissé tombé sa torche pour dégainé sa seconde épée.

Le barbare fit un 180 degrés tout en se donnant un élan par derrière. Lorsque Morgrim retomba sur pied Markus était en train de frappé en diagonal (du haut à droite vers le bas à gauche) avec son épée. Morgrime ne peu évité le coup. L’épée coupa ses vêtements et déchira sa peau. Une longue incision était à présent visible sur le torse du marionnettiste. Mais malgré la douleur et le sang encouru aucun organe interne n’avait été touché. Seule la peau avait été ouverte. Le sang coulait doucement et abondamment le long du corps de Morgrim. Markus encouragé continua à frappé avec son épée.

L’adversaire de Markus désemparé perdait lentement le contrôle de ses marionnettes. Plusieurs d’entre elle tombait déjà au sol. Markus frappa en ligne droite Morgrim qui esquiva de justesse vers la gauche. Markus lui donna aussi tôt un coup de genou droit au ventre. L’homme toussa et recula. Markus fit un 360 degrés pour frapper avec son épée horizontalement vers la droite. Morgrim évita le coup en se penchant avant de d’attaqué le barbare à la taille. Markus tomba à la renverse et frappa le sol avec fracas. Une douleur singulière fut ressentit par Markus au niveau de son bras gauche. Le marionnettiste qui était à présent par-dessus l’homme sorti un poignard. Markus lâcha son épée pour agripper le poignet de son assaillant alors qu’il frappait verticalement pour mettre Markus à mort. Morgrim plaça sa seconde main par-dessus la garde du poignard pour s’y appuyer de toutes ses forces. Markus utilisait toute la force de son bras droit pour retenir le poignard. Markus réussi à dégagé sa jambe droite et la fit passé sous Morgrim pour le poussé. Le marionnettiste fut projeté plus loin. Markus se releva après avoir ramassé son épée. Le barbare sourit en voyant le sang qui coulait sur le corps du marionnettiste et dit avec satisfaction :
- Ce n’est qu’une question de temps avant que tu ne sois hors combats.

Markus hurla avant de chargé de nouveau sur le marionnettiste désemparé et à bout de souffle. Morgrim était maintenant incapable de contrôler ses marionnettes car il était trop occupé à évité les coups du barbare.

Il regarda abasourdi le barbare blessé faire autant de coups envers l'adversaire. Les marionnettes tombèrent une à une en même temps que le personnage étrange s'occupait du barbare. « Il faudra que je demande à tout ces personne qui sont leur nom, je suis perdu! » Il chercha du regard Tass. Il y avait les ogres qui s'étaient coupé l'appétit avec les marionnettes, le demi-elfe qui s'occupait d'un pantin humain. D'autre part, il y avait l'elfe qui regardait le combat, avec un regard d'un total incompréhension à cause de sa blessure et puis... puis... « Il manque quelqu'un! L'homme? Où est-il passé? Il s'est perdu ou... » Sa mine s'assombrit. « C'était le pauvre bougre... » Il releva la tête et, au même moment, le kender apparut devant ses yeux.

- Tu viens ou quoi? J'HAÏ m'amuser tout seul!

- Oui, oui, je vi... Baisse-toi!

Une marionnette restante survint, Boboche prit son précieux bâton et frappa le plus fort possible. Elle alla se cogner sur un mur. « Tiens, il va falloir que j'invente un sport à propos d'un bâton et d'un projectile... Plus tard! » Il avança vers la bataille. Il y avait quelque marionnettes qui flottait encore çà et là mais il n'en restait que quelques unes. S'il y en avait une qui, par malheur se retrouva face au kender ou au gnome, elle était soit calciné, frappé ou les deux. Le kender avait commencé à faire un jeu. C'était de toucher le plus possible de marionnettes. Chaque marionnette comptait pour un point. Pendant ce temps là, la bataille allait de moins en moins féroce jusqu'à ce qu'il y ait que l'énorme pantin humain restant. Ils étaient à égalité.

- Le gros vaut 5 points mais il faut qu'il touche le sol!

Le gnome courut vite derrière le corps suspendu et frappa comme pour les petites. Aucune réaction sauf que le bâton a produit bruit mou. Le kender lança une éclair sur lui. Encore la même réaction sauf une forte odeur de brûlé qui se propagea. Le gnome refrappa encore, encore et encore. Le kender fit la même chose avec ses éclairs. Il était rendu mal en point. Le gnome alla refrapper une dernière fois sauf que cette fois-ci, le corps se retourna et vola sur le gnome. Il fit un petit cri, recula et trébucha. Il tomba par terre. Il vit un éclair de la part du kender, aucun résultat. Sur le moment de panique, car le corps avançait très rapidement sur lui, il vit des fils bleutées. Il saisi son bâton et frappa sur ceux-ci. Le corps, ayant plus de soutient, tomba sur lui. Un autre cri. Il poussa le corps à côté de lui et se leva. Il regarda le kender.

- C'est moi qui l'ait eu!

Malgré la concentration qu'utilisait le marionnetiste pour éviter les coups de Markus, il semblait lui rester assez d'énergie pour contrôler assez de poupées pour donnez du fil a retordre a ses adversaires. Pendant que Markus multipliait ses assaults, Gacel devait faire face a l'un des cadavres manipulés par Morgrim. Avant de mourir se devait être un fin duelliste comme sa rapière et sa fine armure de cuir en attestait. Il fallait le dire, se marionnetiste avait un talent indiscutable. Le corps se mouvait avec autant de grace que s'il eut été vivant. Les épées s'entrechoquait a une allure de plus en plus vite, les passes d'armes s'enchainant a un rythme plus que rapide. Aucun des 2 ne semblait donner l'avantage a l'autre.

Le corps feinta a gauche, Gacel para. Gacel feinta immédiatement a droite, l'autre esquiva. Le demi-elfe se rattrapa en effectuant un tour sur lui-même et arreta au dernier moment l'attaque de l'autre avec son épée. Il fit tourner sa lame autour de celle de son adversaire, se qui arracha la rapière au main de son propriétaire. Celle-ci vola dans les airs. Effectuant un autre tour sur lui même, Gacel repoussa le cadavre d'un coup de pied, rattrapa l'épée virvoletant dans les airs et reprit son équilibre avant de se propulser sur le cadavres sans défense. Le corps essaya de le frapper, mais le barde sauta par-dessus lui, prit appuie sur sa tête et resauta, rejetant le corps derrière lui. Atterissant en roulé-boulé, il se releva rapidement et regarda son adversaire..... tomber dans le grand feu au centre de la pièce, dont il ne se releva pas, coincé la tête la première dedans.

Gacel se retourna pour voir le marionnetiste tombant a genoux. Markus croyant sa victoire aquise, se prépara a frapper. Mais il ne vit pas la dernière poupée a la lance sauter sur lui, arme brandie en avant. Gacel s'élanca, lachant ses armes. Il sauta et plaqua Markus juste au moment où la lance allait le frapper. La lance passa a un cheveu de la tête du demi-elfe, mais ne le toucha pas. Les 2 hommes glissèrent sur le sol sur quelques mètres. Gacel jeta un oeil et fut surpris de la scène qu'il voyait. N'ayant pas eu le temps de réagir, Morgrim arborait toujours son rictus de victoire qu'il avait failli emporter, tandis que le fer de la lance ressortait du derrière de son crâne, laissant échapper un flots sanguin, agrémenter de petits morceaux solides qui devait être se qui restait de sa cervelle. Les dernières poupées s'effondrèrent, l'énergie du manipulateur n'étant plus là pour les tenir debout.

-C'est pas passez loin cette fois.

Alors que Morgrim tombait devans tous et chacuns, le barbare fière et le barde surpris, la poupée tomba au sol avec un bruit mats, comme un vrai corps. Et oui, la POUPÉE. Alors que la peau se dérobait de la mécanique, laissant entrevoir le système le plus ingénieux au monde, le corp se redressait de toute sa hauteur possible, arborant le visage du marionettiste en décomposition, arborant un rictus victorieux alors que le sang giclait de tout les orifices possible. Le corp du pantin de chair, de sang et de courroie trembla de tout le long. Le barbare pris son arme et eu un geste de recule mais il aurait mieux fait de courrir. Le pantin explosa tout bonnement, projettant tout ce qu'il y avait aux alentours. Alors que Markus était mort de fatigue et épuisé de toute ressource et que Gacel était désormais plus que mal en point, alors que ses deux bras avaient déjà été blessés récemment. Alors qu'ils se disaient que le tout était fini, les "Marionettes" se ranimèrent, guidé d'une force surnaturel. Ce n'était pas des marionettes-voodoo ordinaire, c'était des êtres vivants. Alors que Gacel commençait à paniquer vis-à-vis des possibilités envisageable le groupe entendit des applaudissement lent et lourds, des applaudissement de lassitude. Dans un coin sombre de la pièce, un homme était appuyé au mur. Il fixait le sol de ses yeux bleus sapphire, arborant un sourrire paternel. Il stoppa ses applaudissement avant de se tourner vers Gacel.

"-Félicitation..." commença le vieil homme."...Alors là franchement, félicitation! Voilà exactement c'que j'voulais voir."

Il se releva de son appuie mural pour se rapprocher du groupe en position défensive.

"-Ce pantin était sans doute le plus réussi de ma carrière... enfin presque... Excepté peut-être celui qui usait de la magie...menfin bref... je l'avais pas vendu celui-là? Ah non j'avais vendu celui de la petite blonde au gros sei..."

"-Que voulez-vous!?" le coupa le gnome, fou d'entendre des récits de kender.

À ces mots le vieillard eut un regard ébahit, la surprise se lisait sur ses yeux, sous ses sourcils brousailleux d'arriéré.

"-Moi? Mais je ne veux rien voyons! C'est lui qui voulait quelque chose..." dit-il, en pointant le ramassis de pièces, derniers vestiges de Morgrim le voyageur. "Il a demander que..."

"-ATTENDEZ!" coupa Gacel, au bout du comble. "Vous voulez dire que ce...truc... a une volontée propre?"

Le vieillard eut un autre expression qui lui impliquait de relevé ses sourcils brousailleux.

"-Hein...?"

"-Vous avez dit que lui voulait que..."

"-...Hein...?"

Au bord de l'exaspération Gacel eu une moue exaspéré.

"-Oh et puis laissez faire..."

"-.......Hein.....?"

Ne voulant en entendre plus qu'il ne fallait, le groupe décida de continuer son chemin, Ogrish transportant le barbare et Gacel se trainant tant bien que mal. Le groupe descendit les marches. Lorsqu'il furent descendu netement, le vieillard se retourna vers la dépouille de Morgrim. Il se pencha, tassant les braises et les pièces de viandes pour récupéré une orbe qu'il remit dans sa poche. Il se mit a tirer sur sont visage doucement mais fortement pour laisser voir une double peau. Un masque s'en retira laissant voir le visage, tout aussi fière qu'en pantin, de Morgrim.

"-J'ai eu...chaud sous ce masque." Il regarda les petites poupées qui se bagarraient entre-elles. "...J'aurais su, je me serrais servis de la magie... Ce foutu barbare... Dire que les gobelins avaient raisons, il fallait que je me donne a fond...j'aurais dû."

Alors qu'il était prit dans ses songes et repartait tant bien que mal, le groupe lui vivait un tout autre moment. Au milieu de la dernière des dernières pièce, dans le fond de ce temple perdu au milieux d'un paysage a son image, c'est-a-dire: désolé, se tenait un homme, ou créature, sur-vêtu. Point moyen de lui voir le nez, ou le museau, alors que l'amas de toile qu'était son acoutrement se soulevait par mouvements secs. Boboche s'avança en direction de ce dernier, en brandissant son bâton de façon menaçante.

"-Qui-êtes-vous!? Dites-le-avant-que-je-ne-me-fache-et-montrer-votre-vrai-visage!" dit le Gnome, parlant plus vite que lui-même.

Le ramassis de chiffon s'arrêta un moment puis ont pu distinguer un gros respire, comme un soupire exaspéré. Un main complètement couverte passa sur le haut de l'endroit où devait sans doute se trouver le visage, si visage il y avait. La prétendu main empoigna le tissu et tira violement.

Alors que l'on aurait pu lui donner la carrure d'un Ogre, la chose recouverte était tout le contraire. Une carrure svelte, Capable de se glisser n'importe-où, un corp velu d'un poil doux et gris, un museau long et fin ainsi que de grandes oreilles pointus, l'une équipée d'un anneau dorée. Un Dragon, Un Knight par-dessus le marcher, était la dernière épreuve. Argus aurait peut-être dû prévoir un plan B parce que combattre un Dragon, c'était frapper dans le vide et recevoir 5 fois le coup donné... Il faudrait usé de pour-parler. Alors que tous étaient occupé à prendre ses distances, le Gnome parut émerveillé.

"-Ça alors!" s'écria-t-il, s'avançant à deux pouces du rats.

Le Dragon, Les bras bien croisés, regarda ce petit homme avec désintéret et amusement. Le gnome fixait la lance mécanique qui tournicotait en tout sens , des rouages et tout ce qu'il fallait.

"-Une lance à Réaction-Énergético-Mécanique!" S'exclama boboche.

C'était une lance construite que 10 fois dans le monde des gnomes et dont seulement deux avaient survécus aux "bugs" qui en avait été encourrus. Totalement désintéressé par tout le reste, le gnome observait la lance en restant a bonne distance, à deux pouces de Dracus, Le Dragon Knight.

- Hoooooooooooo... J'ai toujours rêve d'en avoir une...

Il avança sa main et le dragon se mit en garde. Il fit tournoyer sa lance dans les airs et il la remit droit.

- On ne touche pas! Lui intima le Dragon Knight avec un sourire en coin.

- Je n'y peux rien, elle m'appelle!

Il avança sa main encore et le Dragon perdit son sourire. Il sauta par en arrière tout en entraînant sa lance. Il retomba droit sur ses pieds en pointant sur le gnome la pointe de la lance.

- Tu sais ce qu'elle peut faire, alors, ni touche pas sinon je déclenche son mécanisme.

Devant la menace importante, il cessa de bouger. Il pensa à toute allure. « Comment puis-je le distraire? » Et il eût une idée.

- Comment est-ce que tu feras ça, je sens que tu en es incapable... C'est mon flair de gnome qui le dit!

Le dragon sourit et il secoua la tête.

- Bien essayé, petit être mais moi, je ne marche pas dans ce jeu.

- Ben quoi, il-fallait-que-je-trouve-quelque-chose...

Le gnome devint de plus en plus nerveux. « Vite! Quelque chose! » Le Dragon prit ses précautions en tournant autour de lui. Il mit son bâton devant lui, le brandissant à bout de bras, incertain.

- Bon, assez jouez avec toi... il faut que je te tue, maintenant!

Le gnome ouvrit grand les yeux. Le Dragon sauta en rugissant. « CE N'EST PLUS LE TEMPS D'AGIR! FRAPPONS! » Quand le Knight fut dans les airs, Boboche eut un réflexe. Il frappa de toutes ses forces et il ferma les yeux. Il rencontra quelque chose de très dur et entendu un petit clic presque imperspectible. Et tomba par terre avec le dragon. Il rouvrit les yeux. « JE NE SUIS PAS MORT! JE NE SUIS... » Il reçu un crochet de gauche de la part du dragon. Cela lui remit les idées en place. Un flux d'adrénaline surgit en lui. Non, pas parce qu'il s'est fait frapper par le dragon, il venait de frapper le bâton. Une colère l'envahit. « Maudite inconscience! » Il reçu un crochet de droite. Il devint rouge de colère. Il prit son bâton à deux mains. Un coup de genou dans le ventre lui coupa le souffle. Mais, cela ne l'arrêta pas. Il frappa un coup sur le casque métallique du dragon. Il reçu une rafale de coup sur la figure. Que légèrement assommé grâce à l'adrénaline, il donna encore un autre coup sur le casque. Un répit de quelque secondes, cela suffit à Boboche pour aller courir dans la pièce. Il se retourna vers le dragon. Celui-ci courut vers Boboche. Il aperçut quelque chose qui attirait son œil. « Le bâton! » Il courut vers le bâton en même temps que le dragon sauta sur lui. Ce dernier parvint à s'accrocher à son habit. Pas pour longtemps. Il déchira un bout de la tunique du gnome et peu de temps après, Boboche fut projeter vers le bâton. Il le prit et il se leva. Le dragon sauta dans son dos. Ils s'affalèrent parterre. Le bâton s'en alla plus loin.

- Tu ne l'auras pas! Jamais!

Il frappa deux à trois fois sur le visage de Boboche. Il le laissa parterre, étourdi. Il alla prendre le bâton avant qu'il puisse faire quelque chose. Il se retourna vers le gnome dévisagé.

- Je t'avais prévenu de ne pas bouger. Maintenant, il faut repentir de tes fautes. Il baissa le son. Tu vas y goûter.

Il pointa le pic de la lance vers la tête de Boboche. Il recula sa lance et engagea le mécanisme. Poussa la lance de toutes ses forces. Plusieurs pics sortirent de la lance. Il eût un clic sonore. Les pics se renversèrent, laissant le vrai pic seul. Un dernier sortit de son emplacement en empruntant la mauvaise direction; le coeur du dragon. Juste avant que le vrai pic atteigne Bocoche, le dragon fut propulsé vers l'arrière. Le dragon s'étala parterre, laissant les deux combatants parterre. L'un est en vie. L'autre est mort.

Markus s’approcha de l’endroit où s’était déroulé l’événement étrange. Il regarda à peine quelques seconde Boboche avant de se diriger en direction du dragon mort. Markus aurait voulu s’accroupir pour l’examiné de plus près, mais l’imposant bouclier du défunt Brutus le gênait. Il contempla simplement la créature qu’il qualifiait d’homme rat. Puis il examina du regard sa blessure au cœur.
- Et bien t’a vraiment pas eu de chance toi…

Markus regarda par-dessus son épaule droite et vit le kender qui aidait le gnome à ce relever. Gacel arriva à la droite de Markus et demanda avec lui aussi une certaine lassitude :
- Alors qu’est-ce qu’on fait…?
Markus eu un petit sourire au coin des lèvres.
- Nous descendons et nous faisons se qu’il faut faire…l’objectif est tout près…

Sur ces mots Markus emboîta le pas, suivi de Gacel. Mais les ogres s’arrêtèrent près du corps du dragon, l’eau à la bouche. Markus se stoppa net et dit avant d’immédiatement reprendre sa marche :
- Ogrish! Allez viens, toi et tes cousins n’avez pas le temps pour ça…dépêchons nous…

À sa grande surprise les ogres l’écoutèrent et le suivirent dans l’escalier. Maintenant le groupe s’approchait du but.

Alors que le groupe descendait toujours plus profond dans les entrailles de notre monde, une chaleur étouffante qui, selon tout bon nain qui se respect, devait provenir de la forge de leur cher dieu forgeron. La chaleur, qui augmentait toujours au fur et a mesure que le groupe descendait, ralentissant d’épuisement ces derniers, ce changea bientôt en un froid spectral inconnu. En effet, les héros étaient arrivés en bas de ces escaliers sans fond. Alors que leur dernier obstacle se dressait devant eux : Une énorme porte massive qui aurait fait l’envi d’un seigneur Nain même, un jeunot feuilletait un livre dans un recoin de la salle. Ce petit ressemblait à une pâle imitation d’Argus, fait avec un fond de garde-robe et du maquillage de mère-grand.

« -Bonjour! » salua le jeunot, alors que Markus s’approchait.

Le barbare vint a posé la question essentielle : L’identité de ce jeunot. Alors qu’il s’apprêtait à parler, Le petit fut plus rapide.

« -Je suis Argus! » s’écria fièrement le petit boutonneux

Voyant que son interlocuteur ne comprenait pas complètement, le petit fit un signe de la main avant de changer de sujet, mais Markus fut plus rapide.

« -Euh…Ouais…C’est ça… Il est passé où ton maître? »

«-Zut, repéré… euh…Il est pas là. Enfin bref, voilà votre dernière barrière!...À l’intérieur il y a le portail ET…le gobelin… Je vous souhaite que vous soyez assez fort et rapide pour l’en empêcher, le portail est déjà ouvert… Bonne chance»

Au même moment...

Une pierre se décrocha du plafond de la caverne, un plafond de plus de 100 mètre de haut. Une pierre parfaitement taillée a perfection en forme de rond bien découpé. Au même moment un bruit retentissant se fit entendre.

"-Aaaaaaah! Bordel de m..."

Alors qu'un petit personnage barbu tombait dans les bras d'Ogrish, Markus se retourna pour appercevoir cet étrange personne.

"-Oh Réorx, Tu te fou de ma gueule, ma parole!" s'exclama le nain aux yeux bleus et a la barbe noir parsemée de gris.

Persuadé d'être sur le point de se faire dévorer par l'Ogre (qui calculait encor le pourquoi du comment ce nain était atterit là) le nain qui répondait au Nom de Grimbul Rouge-Martel pris en main sont marteau-Piolet de la massivitée d'un marteau nain et habatit un coup sur la tête d'Ogrish avant de sauté en bas, se retrouvant face a Markus.

"-Qu'est-c'que vous m'voulez tous?!" s'exclama-t-il avec un geste de recule

Le barbare regarda le nain et lui dit doucement :
- Calmes toi, on ne te veut aucun mal.

Mais le nain ne l’écoutait pas et continuait à dévisager tout le monde. Markus aussitôt désintéressé fit un signe de la tête au reste du groupe, afin qu’il le suive. Ce qu’il fit, alors que Markus s’approcha de la porte, il dit sans se retourner :
- Aie le nain! Plutôt que de resté planté là vient avec nous!

Gacel eu un air songeur et demanda à Markus :
- Tu es sur? On ne le connait pas.
- Je ne te connais pas non plus et sa ferait un guerrier de plus…

Markus commença à donner des coups de bottes sur l'imposante porte. C'était du solide, « comment allons nous passer» se questionna l'homme. Puis il regarda les ogres, il réfléchit de plus belle. « la force brute ne nous sera d'aucune utilité...» L'homme semblait tourné en rond. Et cela lénervait profondément, pour lui aucune créature ne pouvait être un obstacle infranchissable. Et le fait de rester piégé là face à une porte l'agassait. Markus plissa les yeux en voyant les ogres s'attaquer à la porte avec force. Ce n'était pas une bonne idée car, ils perdaient l'effet de surprise et surtout, les ogres se fatigueraient à force de marteller l'imposante porte. Il n'y avait rien à faire, « seul le nain pourrait nous aider» ces la conclusion à la quelle Markus arriva. Il s'empressa de demander au nain, toujours en position défensive, s'il pouvait les aider:
- Bon nain pouvez vous creusé un trou dans la paroi situé à côté de l'un des battant de la porte?

Markus espérait que le nain accepterait.

Grimbul Rouge-Martel n'avait jamais aimé les étrangers...Il faut dire que 100 ans a vivre de la terre et ne jamais voir la lumière ne l'avait pas aidé plus et avait fait de lui un être méfiant. Néanmoins ce barbare avait bonne mine, contrairement a ce semi-elfe et l'autre gêne elfe qui devait gire plus haut mais que le nain sentait néanmoins.

"-T'as de la chance...J'ai bouffer tout un tas de bestioles ce matin et ça m'a donner bonne humeur... J'accepte."

Aussitôt il empoigna son étrange marteau mécanique et les quatres pinces qui sortaient de son étrange sac-a-dos mécanique pis creuser une brèche. Les étincelles fusaient...ça allait être long.

Le nain s’affaira et commença à creuser dans la paroi, il avançait à une rythme tel que Markus souriait enfin depuis qu’il avait eu le bras en miette. Les autres membres du groupe profitaient de cette accalmit pour souffler et se préparer à l’ultime bataille. Markus ne disait rien et restait là, impatient de terminé cette quête pour retourner….
- Retourner où..., dit-il à voie basse avec désespoir.

Pour la première fois depuis le début de son exile, il se rendit compte qu’il ne faisait qu’aller nul part. Sans but et sans conviction, son seul désir était de revoir ses amis. Mais les elfes d’Orifindel avait établit un avant poste dans les contreforts du nord. Et les sentinelles avaient reçu l’ordre de le tuer à vue.

Markus fut extirpé de ses rêveries lorsque le bruit d’un gond se brise retenti. Le nain venait de brisé le gond inférieur droit de la porte de pierre. Les ogres s’empressèrent de tiré à l’endroit ou le gond s’était fissuré. Durant ce temps le nain continuait de travailler la pierre afin de créé un passage assez grand pour laisser passer les membres du groupe un part un. Bientôt ce fut terminé, les ogres avaient permit à Grimbul de se faufiler entre le gond brisé et la paroi. Le nain dit à haute voie que c’était fait, puis il se déplace afin de laisser Markus passer. Celui-ci courait et entra aussi rapidement que l’éclaire dans la salle.

Là un chamane gobelin dansait d’une façon ridicule. Markus chargea en direction de celui-ci et le plaqua de plein fouet avec le bouclier du défunt Brutus. Le gobelin fit projeté plus loin, il eu à peine le temps de se relevé que Markus vint lui tranché la tête en frappant verticalement avec sa lame. La tête du chamane tomba au sol et roula sur environ un mètre laissant une longue ligne de sang derrière elle, avant de s’arrêté net.

.Markus sourit c’était enfin fini, enfin le croyait-il. Il leva les yeux et vit que le portail ne s’était pas refermé. Celui-ci était immense, il mesurait plus de dix mètres de haut par six mètres de largeur. Il ondulait et était parcouru d’éclaire violette. Mais tout ce que l’on pouvait voir a travers c’était le vide, une vide infini et noir. Markus perdit aussi tôt son sourire. Un étrange nuage noir commençait à ce rependre dans la salle, à la façon d’un brouillard qui se lève. Markus resta muet, alors que les autres membres du groupe entraient dans la salle. L’incompréhension plus que la peur les envahit tous.

Ogrish s'énerva tout d'un coup et lanca un rocher qui trainait par terre dans les airs. Tout le monde s'écartèrent pour ne pas recevoir le rocher.
-Désolé, Ce sont des petites défaillances au cerveaux qui font de nous, les ogres, des êtres imprévisibles. Bon, ou en étions nous? Ah oui, le nuage menacant noir. Une chance que le nuage n'était pas mauve parce mauve c'est plus marrant qu'autre chose.

Tout le monde s'interrogea

-Ben oui! Les nuages de magie sont mauve d'habitude... bon, laissez-faire... Je vais essayer quelque chose...


Ogrish ouvrit sa sacoche, et avala un paaquet de choses inconnues. ensuite il dit:<
-Orrrgz gggrsh brrrg hushikgr BOOOAAAARGH!

-a quoi servent ces incentation d'ancienne langue ogre, Ogrish?

-rien, sa rend la chose plus tribale....

un flash de lumiere venu directement de la geule(le dieu des ogres) jaillit et...

Alors que le chaos ambiant commençait et qu'Ogrish semblait tenté quelque chose, un inconnu connu fit irruption dans la pièce. Il semblait avoir pris un coup de vieux mais il était toujours vêtu de son éternel accoutrement, sa pipe retenue fermement entre ses lèvres et un énorme grimoire sous l'épaule. Argus Vingaard se dirigea aux côtés d'Ogrish, son fidèle ami et employé.

"-Je ne crois pas que ce portail se refermera aussi facilement!" s'écria Argus tentant de couvrir les gémissement des rafales de vent déclenché par le portail, alors que la pièce devenait de plus en plus sombre. "T'es que de niveau 3...euh...je veux dire que ce portail requiert d'être refermé par ce grimoire!"

Il avait brandit le-dit grimoire sous le nez d'Ogrish pour qu'il le voit, ce dernier fesait toujours sa magie à l'oeuvre, la lumière sortant de sa bouche.

"-Ne lâche pas pour autant! Tu va m'aidé..."

Argus ouvrit le grimoire d'un revers de la main pour arrivé à la derniere page. Tout n'était que symboles Runiques mais le titre s'arborait: "Clée de la création". Le maître de la tour commença a psalmodié des incantations intelligibles alors que les écritures qu'il récitait commençaient à l'entouré pour se concentré au bout de sa main gauche.

*Merde Je suis pourtant Droitié!* pensa Argus, entre deux syllabes...ou du moins parrassait-il de syllabes.

Alors qu'il terminait l'incantation, Argue balança maladroitement la boulle qui s'était formée au bout de sa main. Ne restait plus qu'à voir la suite.

Markus contempla la noirceur, ce n’était pas la première fois qu’il voyait un portail dimensionnel de ce genre. Il couru en direction de la fissure temporel béante, arme au poing. Le vent soufflait avec une force impressionnante, mais rien ne semblait pouvoir faire obstacle à la détermination de Markus. Celui-ci déchira même son attelage au bras gauche, laissant tombé le bouclier du défunt Brutus au sol, afin de réduire la surface sur la quelle le vent pouvait faire pression.

Markus arriva à quelque décimètre du portail, une froideur morbide pouvait se faire sentir. Markus était à présent du côté gauche de l’arche qui entourait le portail. Celle-ci était orné d’innombrable symbole antique qui brillait d’une lumière mauve. Markus retourna sa lame et la planta directement dans la pierre. Il répéta sa manœuvre à mainte reprise. Détruisant les symboles runiques, le portail sembla devenir instable. Il oscillait et projetait des éclaire noires. Les symboles s’instillaient de manière discontinu.

C’est alors que l’orbe lancé par Argus atteignit le portail. Instantanément tout les symboles s’éteignirent et le portail brilla d’une vide lumière avant de s’effondré sur lui-même. Le vent s’inversa, aspira tout le contenu de la pièce. Le cadavre du chaman gobelin fut le premier à traversé le portail. Markus tenta en vain de planté son épée dans la pierre afin d’avoir une prise ferme. Il fut lui aussi happé par le portail et disparue dans les ténèbres. Puis plus rien, le portail disparu dans un vacarme assourdissant qui fit tremblé les fondation même de la salle. Faisant chuté quelque pierre qui s’étaient détaché du plafond. Tous était sain et sauf à l’exception de Markus qui avait disparu, tout comme le bouclier de Brutus le cadavre du chamane gobelin et le portail.

"Ah non!" s'écria Tasselhoff, pris de panique, alors que son "ami" venait de disparaitre dans le portail. "Quel horreur!"

"En effet..." répondit Argus, sur un ton calme, qui fixait, d'un regard mécontent, son précieux grimoire se réduire en cendre, ayant puisé toute sa magie.

"-Y'as pas a dire! INGRAT! Partit a l'aventure sans moi... Je suis jaloux!"

Décidément, Tasselhoff ne pensait qu'avec sa curiositée. Le maître du donjon leva alors (enfin) son regard vers l'assemblée de héros en tout genre.

"-On dirait bien que la quête que je vous avaient attribués s'est désormais terminée... Il ne vous reste plus qu'à retourné chez vous!"

Certains le regardaient avec un regard déplacé. Comment repartir si le passage était toujours truffé de pièges? Argus devina vite la question.

"-Prenez cette porte...arrivé à l'extrémitée vous devriez atteindre le château de feu Roi Jack Brutus..."

-hum! Tout cela me semble trop scénarisé...c'est tellement cliché, quoi! le livre qui referme la porte de bla-bla-bla, mais bon, le barbare fonce et détruit tout sans magie! Et puis l'Ogre la-dedans? bah il fout rien encore!

Continuant de raler, Ogrish se dirigea vers la porte pour se rendre au chateau de Jack mais:
-A c'est bien ma peine, quoi! je pâsse même pas dans l'entrebaîllemnt! bon...

Argus dit:-je peux t'arranger sa, mon cher Ogrish!

-meuh non! pas la peine, je vais pâsser par le couloir truffé de piège...

Tasselhof tenta de raisonner Ogrish,mais Argus le coupa:
-Quand un de ces béta a une idée en tête, rien ne pourra l'empêcher de faire ce qu'il veut.

-Et puis, sa sera plus rapide pour retourner chez moi! Bon, ous'que j'lai ai foutu , moi? a! la!

Ogrish ramassa une poignée de gnoblards dans ses mains, et les lanca de le couloirs. Des explosions retentirent, des flêches fuserent, des boulet de rocher tomberent, des scies couperent, et même des petits demons courerent.Apres tout ce brouhaha, Ogrish lanca un ''salut les mecs'' tonitruant, et avec son frere restant, s'engouffra dans le couloir.