Le Djinn du marché

Vous savez ce que je trouve le plus étrange? C'est que toutes les histoires commencent insignifiante commencent dans des endroits les plus familiers... Vous savez, les grands héros qui se rencontrent dans des tavernes avant de térasser un dragon, l'apprenti qui se fait affranchir par son maître ou bien quelqu'un qui entre dans simplement dans un marché pour acheter un bel équipement rutillant... Il en avait vu des humains... Il savait comment les humains pensaient et comment ils voulaient dirigés leurs vies... Mais lui, avait-il droit à un début modeste? Serait-il un héro d'antant qui sauverais un royaume? Qui sait... Seul les esprits, les dieux et les devins le savent... Lui, on le considérait soit comme un dieu, soit comme un serviteur...

La vie de Djinn est souvent enuyeuse lorsqu'on est pas libre... Trois voeux... Le mortel fait une demande qui fini par le détruire... Et on change de porteur... Ce porteur ne fait franchement pas mieux... Et on change de porteur... Jusqu'à ce qu'on a de la chance et qu'on ait comme porteur un homme bien... Ce qui n'arrivait pas à tout les djinns... Mais lui, malgré le fait qu'il soit libre, il aimait voir le comportement des humains... Et le plus drôle, c'est quand un humain lui demande un voeux et qu'il refuse! Zolrac aimait rendre service, mais il aimait encore plus les hommes cupides qu'il trompait!

Dans sa lampe, qui était un véritable palait à l'intérieur, il était comfrotable, mais seul... Alors, on se devait de vivre sa vie de façon amusante et ajouter des rêves aux hommes qui le méritent...

Il était là, sur le stand d'un marchand... Le fils du seul maître qu'il avait respecté l'a vendu pour avoir une épée... Ainsi va la vie d'un aventurier...

Zolrac pensa:
*Si personne ne m'achête aujourd'hui, je part d'ici... Rien ne me retient et je peux me transporter moi même!*

Alors, il attendit...

C'était le jour de chance du Djinn car un client qui n'en était pas réellement un se pointa devant l'échoppe. Tout ce que pouvait entendre le génie était une voix qu'il ne reconnaissait pas discuter avec celui qui devait être le vendeur.

"-Combien pour cette vieille lampe à l'huile mon bon monsieur?" demanda la voix nouvelle.

"-Oh ça...Je la rapporte d'un pays lointain!" mentit le vendeur pour faire valoir l'objet. "Réservé pour un très grand seigneur, mon bon monsieur! Je ne peux vendre à moin de 2 pièces d'or..."

L'autre voix resta un moment silencieuse avant de répliquer.

"-Et pour le maître de Vingaard?" s'enquit l'intéresser.

"-Quoi, vous travaillez pour lui? Et alors, je dis 2 pièces d'or!"

On entendit quelqu'un déplier des papiers.

"-Je ne sais pas pour vous mais... Il y a beaucoup d'objets interdits de vente ici...Et je ne suis pas sure que vous aillez encore vos papier pour vendre ici même... Oh et la perte de ces documents ne suffira pas d'excuse! Garde...?"

"-D'Accord je vous en fait cadeau, oui! Voilà! Un bon cadeau rien que pour vous!" s'écria la voix du vendeur, paniquée.

"-Oh merci infiniment! M'en voilà ravis!"

Argus Vingaard put repartir comme si de rien n'était avec la lampe contenant Ralzar. Le trajet dura 3 secondes mais lorsqu'Argus tapota, du pommeau de sa canne, la lampe du génie, pour le réveiller, il était déjà au sommet de la plus haute tour de son donjon, dans ses somptueux appartements.

(OOC: Petite précaution, Zolrac et Ralzar sont les mêmes... J'ai un autre fofo avec lequel j'utilisait Zolrac il y a pas longtemps, alors...)

Ralzar, qui était surpris, mais content, d'avoir un nouveau maître comme celui-ci, sortit de la lampe d'un gest magestral... Comme le font tout les génies... En prenant une voix plutôt imposante, il dit:

-Toi, posseseur de la lampe, si ton coeur est juste et que tu souhaite tes rêves se réaliser, prononce tes trois voeux... Je suis le Djinn Ralzar et mes talents sont vôtres...

De la grandeur d'un humain, il n'avait pas de pied... Juste une fumée qui était en fait de la mana... Un truban recouvrait ses yeux ainsi qu'une crinière de mana qui lui servait de cheveux... Un cimetaire pendait a sa taille, mais il ne l'utilisait que rarement... Mais il savait très bien s'en servir...

- Puis-je vous demandé votre nom, maître?

"-...Et vous ne pouvez pas faire revivre les morts, tuer un être vivant par voeux, forcer une personne amoureuse sous peine de la rendre folle etc. etc..." commenta Argus, qui connaissait bien les créatures de ce monde.

Il fixait le Djinn par-dessus ses lunettes rectangulaires, fumant son éternelle pipe dont il machouillait toujours l'embout avant de recracher des nuages de fûmée qui prenaient forme et vie.

"-Je me nomme Argus Vingaard, enchanté de vous rencontrer Ralzar... Si je vous ai trouver chez ce scrupuleu marchant ce n'était en aucun cas pour le voeux, je ne peu malheureusement pas en faire..." décréta Argus, un peu désolé d'être inutile à ce génie. "J'Assure le bon fonctionnement de FaerDiel et j'écris son histoire. J'ai, en ce moment même, un ami malheureusement prisonnier des limbes et j'aurais besoin que votre propre personne l'aide à passé au travers des épreuves qui l'Attendent... Je vais devoir vous y envoyer mais malheureusement vous ne pourrez l'en faire sortir d'un simple voeux, ça défierait toute logique vous savez?"

Argus recracha un nuage de fumée qui sembla prendre la forme d'un barbare combattant, de deux épées, un homme sombre vêtu d'une robe.

(OOC: Ne le prend pas sérieusement... Les Djinns parlent toujours en questions de souhaits, maîtres, désirs.... Ils tentent de les mettres partout dans leurs conversation...)

-Il s'agit donc d'une quête... Hum...Si vous êtes celui qui écrit l'histoire de ce monde, vous devez savoir que j'ai déjà obtenu ma liberté... Alors, je veux bien aidé votre ami... Car tel est mon désir... Mais où se trouve-t-il et comment puis-je y aller?

Le Djinn, sachant qu'il était avec un être des plus puissant de ce monde, avait mit un genoux à terre après avoir fait apparaître ses propres jambes...

OCC: Je sais bien, c'était simplement pour être un peu Role-Play (:

Argus lui mit poliment une main sur l'épaule, tapotant amicalement celle-ci.

"-Cesse de politesse, mon cher ami! Et comment t'y rendre là est la question il me faut fouiller dans ces ouvrages..." dit-il en désignant une bibliothèque entière de livre qu'un seul homme n'aurait pas assez d'une vie pour les lires en entier.

À ces mots le maître du donjon Vingaard commença à farfouiller parmis les livres, suivant la reliure de chacuns et marmonnant des titres, le regard du Djinn tomba même sur un livre qui portait son nom mais aucun ne semblait parler de leur écrivain. Lorsque ce dernier semblait vouloir se rapprocher de l'ouvrage, le chic chroniqueur poussa un cri d'exclamation tout en retirant l'ouvrage qu'il commença à feuilleter, marmonnant d'autres paroles trop basses pour êtres comprises.
Argus se rapprocha de Ralzar, trouvant enfin la page qu'il cherchait tant. il mit son doigt en quise de signet et ferma l'ouvrage devant lui.

"-Serrez-vous pret, Ralzar, à entrer dans un monde de souffrance éternel dont très peu d'êtres humains, morts ou vivants, ont eu la malchance de visité?" demanda le chroniqueur à cette entitée de mana éternel, le fixant sévèrement et attendant une bonne réponse avec impatience.

-Personne ne peut être prêt à affronter le désespoire et les pires calomnies de ce monde... Alors, mieux vaut y aller sans se retourner et revenir ici pour voir comment il fait bon vivre... Si mon histoire doit finir ainsi, que ce soit le cas... Sinon, la vie continura et je la viverais comme jamais auparavant... Par contre, si vous voulez bien me garder ceci pendant que je serais dans un autre plan...

Il tendit sa lampe à Argus Vingaard... Ceci montrait de revenir dans ce monde...

-Tant qu'elle n'est pas détruite, je serais capable d'exister... Prenez en soin... Si tel est votre désir...

Le Djinn était prêt... Il se plaça bien droit, enleva ses jambes et plaça sa main sur son cimetaire...

Argus applaudissa ouvertement dans ses mains, son sourrire serrant toujours plus sa vieille pipe à tabac particulière.

"-Alors là bravo très cher!" s'exclama-t-il en prenant la lampe et en la plaçant bien en vue sur son bureau de chêne. "Voilà un exemple à suivre comme jamais! Je savais bien que je pourrais compter sur vous!"

À ces mots, il empoigna le grimoire et l'ouvrit bien grand à la page désirée, en direction du souffle. Un vent violent se mit à souffler et la page s'illumina d'une vive lumière mauve qui se reproduisit au sol, mais en vert...Un vert bien obscur et déplaisant qui ne prévisageait rien de bon, sentant la mort à plein nez.

"-Si monsieur veut bien entrer, Markus Moriak l'attend impatiemment, sans le savoir..."

Argus désigna amicalement le portail comme s'il montrait une part de gâteau.

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Hors RP: seulement informer Markus en donnant le lien de ce sujet.