Les ténèbres des limbes.

Les ténèbres, juste les ténèbres. Markus ne voyait rien, il était incapable de bouger. Tout son corps soufrait intensément. Markus ne peut retenir des gémissements de douleur. Il se tortillait, couché sur le sol, enfin se qui devait être un sol. On aurait dit que des milliers de couteaux s’enfonçaient dans sa chaire. Le froid mordant, semblable à celui des toundras arctiques, rendait l’expérience encore plus désagréable. Une sensation de faim et de soif vint s’ajouter au calvaire. Markus ouvrit les yeux et serra les dents tandis que son corps était parcouru de convulsions.

Il ne vit rien, rien que la noirceur la plus profond qu’il n’est jamais vu de sa vie. Le vide, le néant, la mort… Pas de bruit, pas de vent, rien, simplement la mort. Voilà ce que semblait être cette endroit qu’était les limbes.

Le calvaire de Markus se perpétuait sans cesse. Celui-ci se mit à plat ventre et alors que tout son corps semblait vouloir dire non. Il se leva en trembla et en gémissant. Jamais il n’avait eu aussi mal. Alors qu’il se levait, la douleur devint plus vivent le forçant à mettre le genou gauche au sol. Il plaqua sa main droite contre son cœur et supplia:
- Donnez moi la force….

Il se releva avec conviction et réussi même à avancé de quelque pas. Il s’arrêta lorsque son pied droit percuta son zimrar. Markus le ramassa avec peine et le rangea dans son foureau. La douleur était si constante que Markus était à présent dans un état presque comateux comme si il aurait été dans une sorte de transe. Et à son grand étonnement son bras gauche avait retrouvé toute sa mobilité d’entend. Markus recommença sa marche dans les ténèbres qui était pour le moins inutile.

Alors que le barbare avançait, la noirceur qui s'étendait devant lui commença a brillé petit a petit. Donnant vue a un paysage noir surplombé d'un ciel extrèmement nuageux d'où émanait une lueur verdâtre. Le barbare était en haut d'une soi-disante colline et avait une vue d'ensemble. Il n'y avait rien d'autre que le néant. Alors qu'il observait le paysage, un vent violent poussa le guerrier au sol et une fumée noir commença a se rapproché très proche pour finalement prendre l'apparence d'un vieillard dont les traît lui laissait peu de temps a vivre mais dont la voix vibrante d'un écho maléfique laissait savoir qu'il vivrait éternellement.

"-Pauvre est ton sort, sauvage! Car tu es désormais sur mes terres! Aucune sortie, aucune issue! Rienque le vide et mon imaginaire pour te semer des embûches! Si tu suis mon petit jeu je t'aiderai a partir d'ici...qu'en dis-tu?" ce visage sorcier qu'était celui de Fistandantilus, le plus grand mage noir de tout les temps, eut un rictus a la fois sadique et heureux.

Markus se releva, la douleur disparu petit à petit. À présent qu’il pouvait voir, son angoisse diminua, car il est bien plus facile d’abattre un ennemi quand on le voie. Il contempla le vielle homme et le lancer un regard soupçonneux. Il soupira et dit :
- Si tu es ici ses surement pour une bonne raison…

Markus prit une pose et réfléchit un instant. Si cet homme pouvait le faire sortir de cet enfer qu’était ce lieu. Il ne devait pas se le mettre à dos, il commença par les politesses d’usage :
- Moi, s’est Markus-Antiox Moriak et vous êtes?

"-Fistandantilus, Mortel!" lui répliqua sèchement le visage brumeux de l'archimage. "Tu as sans doute entendu parlé de moi...si tu es instruit... Ce qui, si j'en juge par ton accoutrement, doit être faut!"

Le visage jetta un regard emplis de dégout, comme s'il eut été devant un rat pestiféré. Puis, comme s'il venait de se rappelé de quelque chose, eut une expression emplis de surprise. Il se dématérialisa un instant pour devenir la forme d'un archimage vêtu d'une grande robe noir et dont, sur les contours (mancues et capuches), était brodé des runes de protection. Sa barbe longue et blanche descendait jusqu'à ses genoux (sans doute) ses cheveux descendait tout aussi bas et il était un peu déganis sur le devant. Ses yeux dorés n'inspriraient que malveillance et ses ongles n'étaient que de longues griffes noir. Fistandantilus Joignit les mains devant lui.

"-Dis-moi, sauvage... Comment as-tu atterit ici?" demanda l'archimage déchu en lissant sa très longue moustache d'un geste songeur, avec son pouce et son index.

- Tu as sans doute entendu parler de moi...si tu es instruit... Ce qui, si j'en juge par ton accoutrement, doit être faut!

- Vous avez tous comprit. Mais pour se qui est de mon instruction vous êtes aussi stupide que les elfes qui juge la valeur d’un homme par son habillement. Je sais entre autre comment écrire et parler ma langue natale. De plus je sais également écrire et parler le commun.

Markus sourit et laissant un instant l’archimage noir réfléchir sur ses paroles. Puis Le barbare poursuivi en lançant une réplique sanglante à l’égard de Fistandantilus :
- Fistandantilus? Jamais entendu parler… bah ça doit être parce que vous n’êtes qu’un autre de ses fameux mages noirs qui se prennent pour des dieux et qui finissent dans des oubliettes comme celle-ci.

L’archimage voulu répliqué mais Markus le coupa et dit :
- Et pour répondre à votre question, je suis ici parce que j’ai probablement fermé le seul moyen de sortir d’ici, monsieur je sais tout et je suis le maitre de cet endroit...

Cet homme avait du front et le payerais sans doute de toute façon. Fistandantilus ne put retenir un sourrire amer. Il toissa d'abord le barbare, ses yeux se plissèrent sous l'orgeuil qu'il éprouvait. Markus commença a se soulevé au-dessus du sol, le coup se tordant sous une force invisible: Fistandantilus l'étranglait.

"-Je t'offre une chance en or de retrouvé la lumière du jour, la moindre des choses serait que tu te montre polis!" énnonça l'archimage déchu, "-Et puis tu n'As surement pas fermé le seul moyen de sortir puisque le seul moyen de fermé ce portail est le plus ancien grimoire possédé par..."

Fistandantilus eut une expression ahurit. C'était décidé, Argus était derrière tout ça! Et mieux encor, ce guerrier devait le connaître...et encore mieux: Le sauvage voudrait revoir la Lumière du jour...

Malgré la force invisible qui lui serait la gorge Markus sourit et murmura, assez fort pour que le mage noir l’entende :
- Pauvre imbécile…, sa gorge e sera un peu plus, la dernière chose dont j’me souviens c’est qu’Argus à utilisé se fameux grimoire et…. à lancé une orbe violète en direction de celui-ci…

Une pensé traversa l’esprit de Markus, un sourire ironique apparu sur ses lèvres et il dit :
- Si ça se trouve… Argus aurait pu fermer le portail sans mon aide…Ah…surpris espèce d’enfo…

La gorge de Markus se serra, il étouffait, il était incapable de respiré. De vives convulsions le parcoururent, logiquement il aurait du mourir, mais il y avait quelque chose qui le maintenait en vie. Voilà une torture que Markus n’avait jamais subit, être sur mort sans vraiment l’être réellement. Sa gorge se desserra le laissant respirer, il inspira profondément, il n’avait jamais vécu quelque chose d’aussi douloureux et terrifiant de sa vie. L’attente insoutenable du repos éternel qui n’arrive jamais. Markus savait à présent que ce Fistandantilus pouvait lui faire subir cette expérience encore et encore. Il devrait faire preuve de politesse à l’avenir.

Fistandantilus était maintenant épuisé. Son corp refletait une moue exaspérée, il avait attendu si longtemps après ce moment et Mr.Le-Juste en personne avait trimbaler un nomade jusque dans le sous-sol du vieux temple pour usé du dernier atout du meilleur des grimoires et ainsi empêché Fistandantilus d'accédé au monde extérieur...ou du moins a moitié. Markus avait relâché une semi-insulte qui avait énervé le mage noir. Ce dernier ressera une fois de plus son étreinte, on entendit un craquement sourd, les os du cous avaient brisé mais sans se brisé. La douleur se maintenait sans réellement existé. Finalement, L'archimage déchu relâcha le barbare qui s'affala au sol avant de se relevé péniblement. Fistandantilus s'en approcha.

"-J'imagine que tu souhaite sortir d'ici... n'est-ce pas?" le questionna-t-il.

La réponse était bien sure évidente, n'importe-qui...ou n'importe-quoi serait prêt a tout pour sortir de ce lieu cauchemardesque. Fistandantilus pointa le paysage désertique qui se prolongeait à perte de vue.

"-C'est ici que j'ai parcouru dix épreuves aussi psychologiques que physique soit-elle! J'aimerais bien me divertir un peu, la visite se fait rare... Si tu te prouve valeureux en affrontant le tout, tu mériteras surement que je te retourne chez toi..."

Fistandantilus attendait une réponse de la part de Markus, un sourrire carnassié dont les dent jaunes et pointu accentuait une apparence de prédateur. Pourquoi lançait-il se défit? Il ne le savait pas. Peut-être était-ce la même envie qu'avait éprouvé le précédent maître des lieux, avant que l'Archimage ne le réduise a néant.

Markus se releva en se tenant la gorge de la main droite. Dix épreuves, avait-il le choix. Markus contempla le paysage ténébreux et su que non. Peut importe ce qu’il aurait à faire, il se devait de réussir afin de sortir de cet endroit. Mais d’un autre côté, il ne devait pas permettre au mage noir de s’échappé de ce qui était sa prison. Le barbare toussa avant de dire :
- Qu’est-ce que je dois faire qu’on en finisse.

Fistandantilus n'attendait pas une meilleur réponse que celle-ci. Ça allait décidément être ce qu'il y aurait de plus amusant avant longtemps.

"-Très bien! Tu comprendras quand tout arrivera....d'ici-là, patiente!"

Fistandantilus se transforma en fumée dont Markus reçu de la poudre dans les yeux. La fumée finit par s'évaporée. Le barbare put entendre distinctement, dans sa tête, la voix de l'archimage déchu.

"-Un petit quelque chose qui me permettra de voir ce que tu vois. Rien de bien grave."

Le "ciel" commença à s'assombrir alors qu'un mur qui se prolongeait à l'infini dans toute les directions (ver le ciel et ver les côtés) apparaissait petit a petit devant le nomade. L'entrée était tout aussi imposante et deux gargouilles de pierre dont les yeux brillaient d'une lueur bien vivante semblaient guetté ceux qui y entrait. Une brume spectrale était tout ce qu'on voyait depuis l'extérieur.

"-Les gargouilles ne sont là que pour t'observer...n'y porte pas attention et entre dans le labyrinth..."

Markus avança d’un pas déterminé, il s’engouffra sans peur ni crainte dans le labyrinthe. L’épaisse brume verdâtre flottait d’une façon sinistre. Lorsque Markus marcha parmi celle-ci des mains spectral se levèrent tentent vainement de touché le barbare avant de se déchirer en lambeau comme un nuage sur une montagne. Lorsque les gargouilles furent derrière Markus un mur apparu et bloqua la sorti. Markus ne réagit point et ne fit que murmurer en entendant le son de la pierre qui se soulève :
- Bien entendu…

Markus poursuivit sa marche dans le long couloir sans fin, pour le moment aucune autre voie ne se présentait à lui, mais cela ne devrait tarder.

Après avoir avancé pendant ce qui semblait des heures, le barbare déboucha enfin sur une pièce ronde. Il était au beau milieu de cette intersection sans coins ce qui était positif: Pas de coins, rien pour s'y caché. Alors que Markus avançait ses pieds se colèrent dans quelque chose de mou. Quelque chose qu'il ne pouvait pas identifié à cause de la brume spectrale des lieux.

Qu’était cette saleté de substance gluante. Markus gigota tira en tentant en vain de s’extirper. Il dégaina son épée et commença à donné des coups rapides tout près de sa jambe droite. Tailladant la glue et à chaque foi sa lame restait légèrement prit dans celle-ci. Les amples mouvements d’épée se firent plus lents puis s’arrêtèrent. Markus était essoufflé comme si l’air était raréfié. Il s’enragea et tira aussi de toute ses forces sur sa jambe droite, tout les muscle du haut de son corps et de sa jambe se contractèrent. Mais rien ne changea, Markus était sur le bord de la crise de nerf…

Bourdique Noeudvert était sans aucun doute le plus... petit des piètres jetteurs de sorts. Son expérience inutile en des choses qui n'avait rien à voir avec la magie était sans doute son plus grand talent, il aurait pu reprendre la boutique de cordonnerie de son père mais le destin avait laissé, sur sa route désespérante, un livre de sort à la portée des plus incultes. Le demi-gnome au ventre énorme s'était alors emparé de l'ouvrage, cupidement, pour allé étudié la magie. Chose qu'il fit. Ce qui nous intéresse, c'est lorsqu'il se confronta à un mage supérieur à lui, parce que Bourdique aimait "se la pété devant les autres". Défié et pris au dépourvu, le jeune demi-gnome n'eut autre option que lire n'importe-quelle phrase de son livre magique (preuve que c'était un livre à la portée de tous).
C'est aussitôt que le plus intéressant apparu. Un cercle d'invocation se traça de lui-même alors qu'une chose d'apparence humaine en sortait. Markus Était dans le monde des vivants.

La douleur et la noirceur laissa place à la lumière et le presque bien être. Car aussitôt la blessure que Markus avait à l’épaule le brûla à vif. Il tomba à genou. Il paraissait désorienté et perdu.
- Que c’est-il passé où suis-je? Ah la barbe, putain… aie toi! Oui toi! Où suis-je?

Le colosse s’adressa au demi gnome, sa voie était puissante et rempli d’impatience. À première vue le petit être semblait tout aussi abasourdi par l’apparition de Markus. Le barbare cru rêvé, il était, ou il semblait être de retour dans son le monde mortel. Il ne savait pas si cela était une bonne chose, mais au moins il était débarrassé de cette saleté de glu verdâtre.

Le demi-gnome ne put retenir un gémissement effrayé alors que cette invocation qui lui paraissait si sauvage et inhumaine s'addressait à lui. Il pointa, d'un doigts tremblant, son adversaire et tenta de balbutié des ordres.

"-At...a...a..att.atta..attaque!ATTAQUE!"

Le barbare ne put contrôlé son corps enduit du sort d'obéissance que toute créature invoquée bénéficiait. Ses jambes le dirigeaient malgré lui vers le magicien d'en face qui l'attendait de pied ferme, son livre ouvert devant lui.

Markus avança, en se trainant les pieds. Il fallait être le dernier des imbéciles pour ne pas se rendre conte qu’il avait été invoqué pour combattre le magicien. Markus leva le bras droit, son épée à la main sans posé de question et commença a courir en sautillant en zigzague au cas où une éventuelle attaque lui serait porté. Cette technique était parfaite contre les magiciens, elle permettait d’évité un quelconque sort lancé par le mage. Markus ne s’avait pas trop ce qu’il faisait là, mais quelque chose était sur. Si son invocateur mourait, il ne retournerait dans les limbes. Et cela était le dernier de ses désirs.

La technique fut d'une efficacitée surprenante, le mage avait beau tiré des projectiles il n'atteignait pas markus mais ce dernier fut néanmoins touché à l'épaule droite lors d'un de ses virages. Approchant à grande vitesse, le mage opposant paniqua et tenta une invocation mais...Il était déjà trop tard. (T'as le choix de la description que tu le met KO, pas obliger de le tuer mais c'est un choix). Le livre tomba en même temps que son propriétaire et Bourdique Noeudvert put se réjouir de ne pas s'être fait écraser et tuer par ce mage qui avait, contrairement à lui, un minimum de talent en la matière.

Combat terminer le petit demi-gnome au ventre bedonnant se rapprocha de Markus.

"-Ouah j'ai invoquer quelque chose de pas net!!" s'exclama le gnome, surpris de voir quelque chose de bien vivant...et bien gagnant.

>Markus ne broncha pas, la boule de feu l'avait attein mais cette chaleur douloureuse était une bénédiction. Dans les limbes il faisait si froid. Il jeta ses deux épées au sol, elles allèrent se fiché dans celui-ci. Il empgna le mage à deux main et lui donna un violent de coup de tête au visage, le mettent hors de nuir.

Suite à cela Markus resta un petit moment (quelque seconde) à resentir, à apprécier la chaleur du soleil sur sa peau. Puis il regarda le petit gnome et dit tout en ramassant ses lames:
- Qu'est ce que je fait ici et qui t'est toi?

"-Ouah....Tu parle vraiment?!" s'exclama Bourdique Noeudvert, décidément convaincu que Markus était une créature inhumaine.

Ce n'était effectivement pas tout les jours qu'on invoquait un homme massif comme ce dernier et peu importe ce qu'il aurait invoqué, le gnome en aurait été d'autant plus surpris.

"-Euf..." réfléchit le gnome à la question du barbare. "J'ai tenté un sort et tu es apparu, ça te convient? Et...Je me nomme Bourdique Noeudvert, désormais ton maître!" tonna-t-il, relevant fièrement son petit menton, joignant ses poings sur ses hanches.

- Mon maître?!

Le colosse s'approcha du gnome et le soulva par le colet afin de l'amné près de son visage:
- Tu saura que j'ai personne comme maître! Et j'ai une meilleur idée, on fait un marcher.

Il le déposa au sol.
- Je remplit quelque tâche pour toi et toi tu t'arrange pour trouver un moyen pour que je puisse resté ici de façon permanante et libre!

Décidément rien ne marchait jamais selon ses désires, bourdique se retrouvait esclave de ce qu'il était sensé être le maître mais néanmoins il pourrait profité de l'occasion au même moment pour s'enrichir éventuellement. Il alla parler mais Markus ne put comprendre, sa vue se brouilla et il semblait tomber dans les pommes.

"-Euh...Vous allez bien...? Mon...sieur...? Mon...sieur...?"

Ce fut les ténèbres pour le barbare qui se réveilla à nouveau dans les limbes. Retour à la case départ...

*-Alors on a trouvé un moyen temporaire de fuir?* résonna la voix ancestral de Fistandantilus dans la tête du barbare. *Je vois tout ce que tu vois, t'en rappel-tu? Néanmoins il sera impossible pour toi de totalement fuire...* tonna-t-il sur un ton amusé.

Devant Markus se dressait l'objet qui avait du s'englutiner dans ses pieds avant son invocation hors des limbes, Une créature de ténèbres avec une gueule gargantuesque mais dépourvue de yeux se tenait devant lui et semblait salivée à l'odeur dubarbare.

Arrivant d'un portail qui se désina derrière le barbare, Zolrac arriva, aussi imposant que possible. Ayant une apparence de combatant féroce et mystérieux, le Djinn apparut entouré d'un nuage de poussière qui était de toute les couleurs... Souvlant légèrement la poussière vers le monstre... Ce dernier, étant aveugle, n'apprécierait pas cette pousière, car elle lui empêcherait de sentir l'odeur du barbare et la sienne par la même occasion...

-Je suis Zolrac, mais fessont les présentations plus tard lorsque la créature sera vaincu... Si tel est ton voeux...

(OOC: Lit ce post et tu comprendra ma venu: https://faerdiel.forumsrpg.com/ville-de-balifor-f9/le-djinn-du-marche-t59.htm#298)

Markus contempla l’être nouvellement apparue et chuchota à lui-même :
- Un Djinn j’n’en ai pas vue depuis….

Il haussa le ton et dit en chargeant la créature :
- Ta qu’à faire en sorte qu’elle devienne solide pour que je puisse la réduire en miette !

Markus n’avait pas le temps de réfléchir aux raisons qui expliquaient la présence d’un Djinn dans les limbes, mais s’il était près à ce battre avec lui alors, il n’avait aucun problème avec ça.

-Je veux bien tenté le coup... Ton voeux sera exhausé... Si une entité maléfique n'a pas accorder sa protection à ce monstre...

Se concentrant, il claqua des doigts... Ce dernier commenda à la magie (ou mana si vous préféré...) de faire en sorte que le molose devienne une sorte de statue de verre... Un mouvement brusque de la part de la détruirait... Ainsi qu'un coup de Markus...